Hardware Stories 

Un projet initié par Anne Goldenberg (goldjian)
Avec Christina Haralanova, LN Foster, Annick Girard, Bun Chhunly Keo et Sophie Toupin
Le dimanche 28 avril 2019, 10h-18h
Au Studio XX


Événement gratuit et bilingue | Inscription requise

Hardware Stories est un Hackday féministe et décolonial qui questionne le cycle de vie actuel de nos dispositifs électroniques. Véritable invitation à revendiquer notre autonomie face aux logiques extractivistes, coloniales et consuméristes de nos sociétés contemporaines, cet événement met en contexte le rapport aux technologies dans une éthique du soin.

Au gré de deux ateliers et d’une table ronde, artistes et activistes démystifieront les modes de production de nos appareils technologiques et nous outilleront afin de réparer, de détourner ou de récupérer ces objets du quotidien. Chacun-e-s pourra apprendre, échanger et acquérir des compétences techniques dans un esprit DIY.

AU PROGRAMME :

Accueil et introduction – 10h-10h30

Atelier 1 | Fix It Together – 10h30-12h30
Méthodologie féministe de réparations techniques
Avec Christina Haralanova et LN Foster
Amène ton (petit) bidule à réparer!

Pause lunch (potluck) – 12h30-13h30

Table ronde | Circuits électroniques – 13h30-15h30
Rendre (in)visibles et (in)désirables nos artefacts numériques et leurs réparations
– Réparer à Montréal: enjeux et projets citoyens | Annick Girard
– Conçu en Californie, fabriqué en Chine : le cycle de vie des déchets électroniques | Bun Chhunly Keo
– Hacking anticolonial | Sophie Toupin

Atelier 2 | Fictions Restoratives – 15h30-17h30
Mettre au monde des réparations collectives
Avec LN Foster et goldjian (Anne Goldenberg)
Création d’un fanzine et/ou d’un poster sur les pratiques de réparations féministes et décoloniales + design d’activités de réparation.

Cercle de clôture – 17h30-18h

 

Photos  (Vjosana Shkurti)


Nous reconnaissons que le Studio XX est situé en territoire autochtone, lequel n’a jamais été cédé. Nous reconnaissons la nation Kanien’kehá:ka comme gardienne des terres et des eaux sur lesquelles nous nous réunissons aujourd’hui. Tiohtiá:ke / Montréal est historiquement connu comme un lieu de rassemblement pour de nombreuses Premières Nations, et aujourd’hui, une population autochtone diversifiée, ainsi que d’autres peuples, y résident. C’est dans le respect des liens avec le passé, le présent et l’avenir que nous reconnaissons les relations continues entre les Peuples Autochtones et autres personnes de la communauté montréalaise.